Des Ours Dorés

Des Ours Dorés Berger des Pyrenees à face rase

Berger des Pyrenees à face rase

J'adopte un chien

C'est décidé, vous êtes prêt à accueillir un chien ! Voici quelques conseils afin de mieux gérer l'intégration du nouvel habitant au sein du Foyer.

Un choix mûrement réfléchi

Un chien vit en moyenne entre 10 et 15 ans, c'est donc un engagement sur du long terme. Un CDI sans période d'essai ni rupture de contrat. Une sacrée responsabilité.

Un chien çà mange, ça doit assouvir des besoins naturels (quelle que soit la météo et plusieurs fois par jour), ça veut jouer, ça veut courir et rapporter des ba-balles, ça veut des calinous, ça sallit, ça perd ses poils, ça fait des dégats, ça a besoin parfois d'être toiletté, ça necessite des vaccins et parfois c'est malade. Avoir un chien demande du temps et des pepettes.

Un compagnon adapté à votre mode de vie

La question essentielle que vous devez vous poser. Votre choix sera différent si vous habitez en ville ou à la campagne, si vous avez ou non des enfants, si vous avez une activité professionnelle prenante, si vous voyagez souvent, si vous sortez beaucoup. Bref il résulte du bon sens et non pas d'un coup de coeur et doit se faire en fonction de votre rythme, de votre lieu et mode de vie ! 

Mâle ou femelle ?

Parité oblige, il y a des avantages et des inconvénients pour les deux sexes. La femelle sera plus douce, plus calme, plus obéissante et plus facile à éduquer qu'un mâle. Il y a la question des chaleurs 1 à 2 fois par an, qui durent 3 semaines. De son côté, le mâle est généralement plus grand, plus puissant, plus joueur et plus gourmand. Excellent dans son rôle de gardien, il sera toujours prêt à défendre son territoire, à vous protéger vous et votre famille. Bien entendu, chaque chien est unique, mais sachez que quelle que soit la race ou le sexe de votre futur compagnon, son comportement sera à l'image de l'éducation qu'il recevra.

Les règles d'une bonne cohabitation

Un chien a besoin de règles fixes, de stabilité et de rituels quotidiens (repas à heures fixes, balades, câlins, siestes). Vous devez réfléchir sur ce qu'il a le droit de faire ou pas et vous y maintenir afin que chacun trouve sa place. Rappelez-vous, votre chien habite chez vous et pas l'inverse. Non, on ne lui donne rien à table sous peine de le voir rappliquer à chaque repas. Non, on ne lui laisse pas sa gamelle en permanence afin qu'il mange à des horaires réguliers. Non le canapé et le lit ne sont pas les siens. Votre chien a besoin d'interdits, de repères et surtout d'un espace bien à lui. Pensez à installer son panier dans un coin tranquille de la maison où il ne sera pas dérangé et veillez à ce que vos enfants le laissent se reposer. Bien entendu, toutes les régles que vous imposez à votre nouveau compagnon doivent être accompagnées d'une récompense. Une récompense alimentaire (la plus prisée), une caresse, au moment même où votre chien a répondu favorablementà votre demande.

L'éducation : propreté et sociabilisation

La première étape consiste à familiariser votre chiot avec son nouvel environnement et sa nouvelle famille. Il doit être attendu et accueilli dans le calme. Pour cela vous aurez préparé à l'avance son panier, ses jouets, sa gamelle d'eau et mis hors d'atteinte ou caché tout objet qui pourrait susciter sa convoitise (fils électrique, télécommande, chaussures, plantes, ...). Apprenez lui dès maintenant à répondre à son prénom et respectez ses périodes de sommeil. L'apprentissage de la propreté chez un chiot dure environ 4 à 5 mois. C'est la période nécessaire pour que physiologiquement il sache se retenir. Sortez-le dès son réveil et après chaque repas et le plus fréquemment possible.

La nourriture

Un chien est un carnivore qui ne mange pas comme nous. Ses besoins sont très différents des nôtres. Il lui faut une alimentation stricte, régulière et de même quantité. Au départ, proposez-lui 3 repas par jour pour passer à 2 entre 5 et 8 mois. L'idéal est d'utiliser des aliments industriels haut de gamme que votre éleveur vous aura conseillé. Et si vous souhaitez lui faire plaisir, les friandises ne sont pas proscrites à condition de rester raisonnable !

Les sorties

Les sorties représentent une nouvelle aventure ! Votre petite boule de poils adorée va enfin partir à la découverte de la vie extérieure avec ses bruits, ses odeurs mais aussi ses dangers ! Dès son plus jeune âge, il est fondamental que vous lui appreniez à marcher calmement et à ne pas tirer sur sa laisse pour que vos sorties ne ressemblent pas à une épreuve de ski nautique. Les balades font également partie du processus de sociabilisation envers ses congénères et les autres humains.

Article City Pattes

Le LOF

Le LOF

Tous mes chiots sont LOF !

Qu'est ce que cela veut dire ?

Le LOF est l'inscription au Livre des Origines Françaises.

Seuls les chiens inscrits au LOF ont droit à l'appellation «chien de race» qui justifie un prix plus élevé qu'un chien croisé, d'apparence ou de type racial. 

Un chien LOF a un historique et un arbre généalogique.

Avoir un chien LOF, il faut savoir que l’éleveur travaille sur de la sélection, peut importe que vous fassiez  ou pas des concours ou des expositions par la suite avec votre prochain chien.

Prendre un chien LOF  pour éviter les mauvaises surprises et savoir à quoi ressemblera son compagnon une fois adulte.

Pensez qu’un berger des pyrénées vit en moyenne 13 ans, et si en plus il ne ressemble pas autant physique que caractère à la race que vous aviez choisi… Le lof vous garanti que vous aurez un chien de race.

Les éleveurs travaillent sur l’amélioration et être au plus proche du standard du berger des pyrénées (caractère et physique).

Si vous décidiez de faire une activité avec votre chien (agility, obé, pistage, …) et que vous décidiez faire de la compétition, il vaut mieux avoir un chien LOF ce qui ouvre plus de porte tel que des championnats.

L'élevage des Ours Dorés

L'élevage des Ours Dorés

Mes chiens et mes chiots naissent et vivent à la maison.

Ils sont sociabilisés au bruit du quotidien, télé, téléphone, micro onde, tondeuse, aspirateur.

Dès que les chiots ont 1 mois, je les habitue à la caisse de transport et commence à faire de petits voyages en voiture pour s’y habituer, il commence à connaître le monde extérieur (jardin)

A 5-6 semaines, je leur mets le collier et le harnais et à 7-8 semaines, je leur mets la laisse, pour que quand les chiots partent, ils y soient déjà habituer.

Au départ du chiot, je fournis aux futurs propriétaires :



  • Le carnet de vaccination

  • La carte d’identification (puce)

  • Le certificat de naissance

  • L’attestation de bonne santé du chiot remplie par mon vétérinaire

  • Le guide du chiot du berger des pyrénées

  • La convention de vente (Facture)

  • 1 kit chiot offert par l'élevage (1 collier, 1 laisse, 1 jouet)


Prix d'un berger des Pyrénées

Prix d'un berger des Pyrénées

Mes chiots sont vendus entre 1000 et 1200€ selon le chiot et le mariage

Mes chiots pourront partir pour sport canin (agility, obéissance, obérythmée etc...), pour le travail tel que le pistage, pour exposition et pour compagnie.

Pourquoi ces tarifs ?

La qualité a un prix !

J'élève et je sélectionne avec passion pour un berger des pyrénées au plus proche du standard physiquement, avec une bonne santé et un bon caractère. C'est l'objectif de mon élevage.

Je teste tous mes reproducteurs pour la dysplasie des hanches avec lecture officielle, afin de produire des chiens qui ne soit pas dysplasique génétiquement (la dysplasie dépend de plusieurs facteurs voir ma rubrique "dysplasie'). Tous mes reproducteurs sont côtés "recommandées" (cotation 4) par le club de race. Mes adultes sont entretenus correctement, ils sortent en club canin, en concours sur plusieurs disciplines, ainsi qu'en exposition canine.

Les mariages sont réfléchis pour produire des chiots de qualités, équilibrés. Je fais appel à des saillies extérieurs ce qui implique des frais de déplacement, le coût de la saillie etc...

Mes chiots sont stimulés et sociabilisés. J'y passe beaucoup de temps.

Des facteurs sont à prendre en compte dans le prix d'un chiot : la beauté et le caractère des parents, la qualité du chiot, la réputation de l'élevage, les infrastructures pour le bien être des chiens et des chiots, les soins apportés par l'éleveur, la sociabilisation des chiots.




Pourquoi les chiots LOF sont a ce prix

Texte paru dans caniscoop

Vous envisagez d’acheter un chiot et vous avez envie qu’il soit inscrit au LOF, vous contactez des éleveurs pour vous renseigner et bien sûr, à un moment donné, vous demandez le prix du chiot ….

Et c’est souvent là que les éleveurs ont le plus de réflexions…. c’est cher !!! Vous vous faites un max de « tunes » !!! J’en trouve un pour moitié prix sur les petites annonces... !!! Ou encore… si je ne prends pas le LOF, vous me faites 50% de réduction sur le prix ? …. J’en passe et des meilleures….

Pourquoi un chiot inscrit au LOF est-il à ce prix ?

Il y a beaucoup de choses qui rentrent en compte dans le prix de vente d’un chiot, je vais essayer d’en faire une liste la plus complète possible….

Dans un premier temps, pour élever des chiots, il vous faut des reproducteurs:

Pour les femelles :

-Soit on fait l’acquisition d’un chiot et on le laisse grandir, sachant que pendant au moins 2 ans elles vont manger, avoir besoin de soins vétérinaires, etc … cela a un coût, ce n’est pas gratuit pour l’éleveur.

-Soit on achète une « lice », une chienne déjà adulte prête à reproduire, dans ce cas-là, les prix sont élevés pouvant aller à des 3 000-4 000 euros, voire plus selon la race.

-Soit on va faire saillir ses chiennes en « extérieur », c’est à dire que l’on n’a pas le mâle à l’élevage. Là aussi cela coûte cher, de 300 euros à parfois plus de 1000 pour certaines races, et là aussi, l’éleveur, on ne lui en fait pas cadeau, il paye. Au prix de la saillie, s'ajoute le coût du déplacement : et oui, le mâle ne vient pas tout seul à l’élevage, c’est le propriétaire de la femelle qui se déplace, parfois des nuitées à l’hôtel… donc à rajouter sur le coût de production d’un chiot…

Pour les mâles, plusieurs solutions aussi :

-Soit un chiot que l’on élève, donc nourri-soigné en sachant que, tant qu’il n’est pas confirmé, il ne peut reproduire des chiots LOF (pas avant l'âge d'un an pour la confirmation d'un mâle).

-Soit on achète un chien adulte, mais là aussi cela coûte cher.

Donc vous avez le mâle et la femelle c’est bien mais cela ne suffit pas encore pour bien faire les choses ….

Il vous faut encore confirmer vos reproducteurs, passage obligatoire pour que les chiots puissent être inscrits à leur tour au LOF. De plus, vous vous devez de valoriser votre élevage en faisant des expositions ou des concours de travail, les inscriptions sont payantes, entre 30 et 80 euros l’inscription pour un chien, (imaginez quand vous en présentez 4 ou 5…) en fonction de l’importance du concours, sans compter le déplacement, les concours ne sont pas toujours à côté de la maison, c’est souvent plusieurs centaines de kms que l’éleveur fait pour « sortir » ses chiens comme on dit dans le milieu, plus des nuitées à l’hôtel si le concours est sur 2 ou 3 jours… et je vais vous dire un scoop quand il va dans une station essence, et bien il le paye son plein, de même quand il va sur l’autoroute ou quand il doit changer de voiture à cause des kms parcourus…..

Vous avez vos chiens, ils sont confirmés et ont fait plusieurs concours, c’est bien, mais pas encore fini….

Il y a l’indentification ADN, les dépistages des maladies génétiques à faire pour être sûr que vos chiens ne transmettront pas de maladies héréditaires à leur descendance, comme la dysplasie, les tares oculaires ou encore les cardiopathies. Là encore, l’éleveur paie au vétérinaire les examens faits à ses reproducteurs, cela a aussi un coût. Puis il doit faire lire les résultats de façon officielle, une fois de plus il doit faire un chèque qui va bien à l’organisme habilité par son club de race pour la lecture. Et si l’éleveur a la mauvaise surprise de recevoir de mauvais résultats pour ses reproducteurs, il a passé 2 ans et a investi de l’argent pour rien et doit recommencer à zéro.

Bon l’éleveur a ses reproducteurs, ils sont confirmés et dépistés, il fait la saillie…

Vous rajoutez le suivi de la gestation de la mère chez le veto (pré mat, échographie, radio), une alimentation adaptée, l’achat du matériel, comme une caisse de mise bas, une lampe pour chauffer le nid, etc. Pour tout ça il doit payer les factures, on ne lui donne pas gratuitement ce dont il a besoin.

Arrive la naissance, il faut être aux côtés de la chienne, quand tout se passe bien ça va, mais s’il y a des problèmes ; re vétérinaire pour une césarienne par exemple là encore l’éleveur paie….

Si la chienne est trop faible ou n’a pas assez de lait pour nourrir ses petits, il faut l’aider, y passer beaucoup de temps.

Vient le sevrage… ça mange les petits et pas n’importe quoi, encore un budget à prévoir sans compter les vaccinations, les identifications, le vermifuge, etc.

Ajoutons encore le prix de l’électricité pour chauffer le nid ou faire tourner la machine à laver, de l’eau pour laver par terre plusieurs fois par jour la nurserie, les produits de lavage, des produits veto divers pour les soins quotidiens, les alèses pour le nid, etc.

Il faut aussi tenir compte que certaines races de chiens sont difficiles à la reproduction, donc utilisation d’inséminations artificielles, césarienne presque obligatoire, nombre de chiots très réduit, (1 ou 2).

Venons-en à la « paperasserie », les déclarations de saillie, de portée, l’inscription des chiots au LOF…. toujours avec un petit chèque qui va bien….

Un éleveur pro et déclaré paie également ses charges sociales à la MSA, tout comme un épicier est assujetti et paie l’URSSAF.

J’ajoute aussi le « service plus » si je peux m’exprimer ainsi, vous avez un problème avec le chiot ? L'éleveur passe du temps à vous répondre, vous recevoir, vous conseiller, à vous aider, etc.

J’ai oublié de compter le temps que l’éleveur passe au travail, et oui les chiennes ne mettent pas bas aux heures de bureau…. quasiment jamais de vacances, comment partir avec 6 ou 8 chiens ou plus ? Ce qui met souvent le tarif horaire de l’éleveur à moins de 5 euros….

Vous accepteriez, vous de travailler 7j/7 sans vacances pour moins de 5 euros de l’heure ?

Moi NON !!!

Un petit calcul rapide, prenons une portée de westie soit 5 chiots avec de la chance, vous pensez : 5 x 1200 = 6000 euros… Oublions les charges, sachant qu’entre la saillie et la vente du chiot à l’âge légal de 8 semaines, il se passe 4 mois, 6000 : 4 = 1500 euros brut par mois, il vous reste maintenant à déduire toutes les charges précédemment citées… Et oui…

Voilà plus ou moins les grandes lignes qui fixent le prix d’un chiot inscrit au LOF, alors trouvez-vous toujours aussi scandaleux de payer un chiot berger allemand 700 euros ? Ou un chiot boxer 1000 ? Ou un westie 1200 ?

Je ne suis pas éleveur, et je n’ai que des chiens LOF, (voir l’article: « pourquoi acheter un chien LOF »), je n’ai jamais discuté le prix d’un chiot car je sais le travail que représente une naissance.

Quand vous discuterez de l’achat de votre futur chiot, gardez en mémoire que son prix est dû à un coût de production et non pas à une envie de l’éleveur de se faire un max d’argent pour vivre la grande vie.

Bien sûr que l’on trouve des chiens « type » x ou y bien moins chers, mais comment sont-ils nés ? Posez-vous les bonnes questions, est-ce-que les parents sont dépistés ? Si j’ai un problème, est-ce que la personne répondra présente ? Est-ce que je ne vais pas cautionner le trafic de chien ? Il faut savoir qu’en non LOF, il n’y a aucune garantie, pas de vices rédhibitoires.

Quelques astuces pour acheter son chien…

Pour savoir si le prix que l’on vous annonce est correct ou pas, prenez la peine de téléphoner au club de race et de demander la fourchette de prix pour un chiot.

Par exemple un chiot berger allemand c’est entre 700 et 1000 euros en moyenne, selon ses origines, un éleveur qui vous proposerait un chiot à 1500 euros ce serait pour moi abusif.

Il faut aussi tenir compte de la race, certaines races difficiles à faire se reproduire, ou rares, (peu de naissances par an ou peu de reproducteurs en France, donc saillie à l’étranger ce qui augmente les frais), peuvent voir le prix de leurs chiots aller à plus de 1000 euros, c’est pour cette raison qu’il est important de prendre l’information sur le prix au cas par cas, selon la race voulue.

Mieux vaut attendre un peu d’avoir les moyens de s’offrir le chien dont on rêve plutôt que d’aller chercher le chiot chez un marchand de chiens au risque de rencontrer de gros problèmes par la suite, frais vétérinaires supplémentaires parce que les géniteurs n’ont pas été dépistés par exemple, ce qui au final vous coûtera beaucoup plus cher que le chien inscrit au LOF né dans un bon élevage.

Ne pas rester fixé sur une idée trop précise de son futur chiot, par exemple il arrive malgré le travail de sélection des éleveurs sérieux, d’avoir dans leurs portées des chiens non conformes, donc non confirmables, un boxer blanc par exemple ou un mâle monorchide, le plus souvent l’éleveur le place en diminuant le prix du chiot ou en prenant en charge l’opération de castration à 12 mois, ce qui peut être une solution si l’on veut un chien de bonne qualité pour son plaisir, le fait que le boxer soit blanc par exemple ne fait pas de lui un « sous-produit », un « produit » de mauvaise qualité, c’est juste que cette couleur n’est pas reconnue dans le standard officiel.

Ne pas hésiter à partir sur un chiot plus grand, 6-7 mois ou un jeune adulte, souvent les éleveurs gardent sur leurs productions, une fois que le chien a grandi, s’il ne correspond pas à ce que l’éleveur veut pour sa sélection d’élevage, en général il replace le chien, avec souvent un prix adapté, là encore une piste pour s’offrir un chien de bonne qualité. Un éleveur qui ne garde pas un chien de 12 mois ne veut pas dire que le chien est mauvais, mais qu’il ne correspond pas à ce que l’éleveur cherche pour ses reproducteurs, par contre il peut faire un chien de compagnie hors pair.

En conclusion ….

Gardez en mémoire ce que vous venez de lire avant de dire à un éleveur passionné par son travail qu’il se fait un max de « fric » sur le dos de ses chiennes. Je vois plus souvent des éleveurs sérieux avoir moins que le RMI ou RSA pour vivre, que des éleveurs sérieux rouler en Porsche Cayenne…